Moi c’est Claudie, mais tout le monde m’appelle Lily

— parce que j’aime que les choses soient un peu plus douces, un peu plus vraies. Ce que tu vas découvrir ici, ce n’est pas juste un parcours pro ou une liste de compétences. C’est une constellation de fragments : de passions, de projets, détours et de visions qui prennent vie quand on les relie.

À 24 ans, je suis en reconversion dans un domaine qui m’anime au quotidien : le no-code, l’automatisation et l’intelligence artificielle. J’aime bricoler l’invisible, traduire l’abstrait en interfaces concrètes, et rendre tout ça aussi fluide qu’une balade en montagne.

Parlons-en, d’ailleurs : les montagnes, la danse, les carnets de croquis, les projets qui partent en vrille avant de devenir des merveilles — tout ça fait partie de moi. Ces passions nourrissent mon approche, m’aident à rester ancrée, créative, rigoureuse et un brin lunaire.

Mais je ne vis pas dans une bulle. Mon envie de contribuer m’a amenée à m’engager dans des projets associatifs et des collectifs qui cherchent, eux aussi, à créer du lien et du sens. J’ai appris à porter des projets d’impact, à coordonner des équipes, à être la colle invisible qui fait tenir l’ensemble. Le tout, sans jamais perdre de vue l’humain.

De l’autre côté de l’écran...

Implication Associative et Projets d’Impact

Chez Incognu, j’ai animé des ateliers sur les biais cognitifs. Au sein des assos kanaks (AKT) et polynésiennes (AEPF), j’ai mis en lumière leurs actions grâce à mes compétences en com'. Et avec Festin Comm’un, j’ai eu la joie (et le challenge) de piloter le pôle bénévolat et communication pour le festival Kaledonia 2.0. Organisation, cohésion, respect des timings, vision d’ensemble : une belle école du terrain.

Ces expériences m’ont appris à être agile, à savoir écouter, à réagir vite, mais avec intention. Elles ont aussi renforcé ma conviction que la tech, pour être utile, doit être accessible, inclusive, et portée par des valeurs.

Ce qui me passionne, ce n’est pas la tech pour la tech. C’est ce qu’elle permet de faire. Créer des ponts, simplifier les problématiques, faire gagner du temps à celles et ceux qui changent le monde. Mon intérêt pour le no-code et le low-code s’inscrit dans cette volonté : démocratiser la création.

Je me forme sans cesse, j’expérimente, je construis petit à petit une boîte à outils sur mesure — entre Notion, Make, Webflow, Bubble et autres merveilles. Mais ce que je veux mettre en avant, au-delà des plateformes, c’est ma capacité à naviguer le complexe avec légèreté, et à toujours revenir à l’essentiel : à quoi ça sert, et pour qui ?

J’aime les projets qui racontent une histoire, les outils qui respectent notre humanité, et les designs qui font respirer.

Magie pratique & éthique numérique